Jean-Maurice de Montrémy (Livres Hebdo, 8 mai 2009) :
« Dominique Venner a connu Ernst Jünger (1895-1998) et fréquente depuis longtemps ses livres. […] Il analyse avec justesse les tournants du cheminement de Jünger, notamment sa tentation du bellicisme et de la “révolution conservatrice”, dans la mouvance du prénazisme. Il montre aussi la valeur de ses refus. S’opposant à Hitler, tirant les conclusions de la catastrophe allemande, Jünger devient un penseur de l’Europe comme culture et civilisation. De ce point de vue, la lecture ou la relecture de ses œuvres, ainsi mises en perspective, reste déterminante. »
« Dominique Venner a connu Ernst Jünger (1895-1998) et fréquente depuis longtemps ses livres. […] Il analyse avec justesse les tournants du cheminement de Jünger, notamment sa tentation du bellicisme et de la “révolution conservatrice”, dans la mouvance du prénazisme. Il montre aussi la valeur de ses refus. S’opposant à Hitler, tirant les conclusions de la catastrophe allemande, Jünger devient un penseur de l’Europe comme culture et civilisation. De ce point de vue, la lecture ou la relecture de ses œuvres, ainsi mises en perspective, reste déterminante. »
R.S. (Chronic’art, mai 2009) :
« Dans un style limpide et alerte, Dominique Venner ne cherche ni à masquer ni à accuser le jeune Jünger ; il révèle au contraire la cohérence de son parcours à travers un siècle de destructions qu’il a vu d’un bout à l’autre. Il se dégage ainsi un modèle de noblesse, de lucidité, de probité et d’esprit typiquement européen…
« Dans un style limpide et alerte, Dominique Venner ne cherche ni à masquer ni à accuser le jeune Jünger ; il révèle au contraire la cohérence de son parcours à travers un siècle de destructions qu’il a vu d’un bout à l’autre. Il se dégage ainsi un modèle de noblesse, de lucidité, de probité et d’esprit typiquement européen…
Alain de Benoist (Le Spectacle du Monde, juin 2009) :
« Le magnifique essai que consacre aujourd’hui Dominique Venner à Ernst Jünger frappe, non seulement par l’élégance du style, mais par la sûreté du jugement et la justesse du ton. L’auteur qualifie son livre de “dette morale”. On sent en effet la grande et forte empathie qui l’attache à son sujet… »
Paul François Paoli (Le Figaro Littéraire, 18 juin 2009) :
« L’historien Dominique Venner, qui a entretenu avec l’auteur d’Orages d’acier une correspondance soutenue, retrace l’évolution de sa pensée aussi aventureuse que sa vie. »
Bruno de Cessole (Valeurs Actuelles, 9 juillet 2009) :
« La nouveauté du remarquable essai de Dominique Venner est de restituer l’œuvre de Jünger et les engagements successifs de son auteur dans un contexte historique peu connu ou méconnu en France. »…
R.D. (Catholica, n° 104, Eté 2009) :
« C’est un beau texte que livre ici Dominique Venner… Comme l’indique le sous-titre, c’est avant tout un essai sur une figure dans laquelle l’auteur voit un modèle de comportement pour les générations à venir, celles qui “réveilleront” une Europe qui est entrée en “dormition”. A vrai dire, on ne comprend pas très bien ce qu’est cette Europe endormie, on a l’impression qu’il s’agit d’une Europe lointaine, qui se présente plutôt comme un mythe ou une idée susceptible d’être opposée à l’Europe chrétienne. »
« C’est un beau texte que livre ici Dominique Venner… Comme l’indique le sous-titre, c’est avant tout un essai sur une figure dans laquelle l’auteur voit un modèle de comportement pour les générations à venir, celles qui “réveilleront” une Europe qui est entrée en “dormition”. A vrai dire, on ne comprend pas très bien ce qu’est cette Europe endormie, on a l’impression qu’il s’agit d’une Europe lointaine, qui se présente plutôt comme un mythe ou une idée susceptible d’être opposée à l’Europe chrétienne. »
F. Saenen (Le Magazine des livres, juillet-août 2009) :
« Venner entreprend de déterminer ce qu’ont en commun, à plusieurs décennies d’intervalle, le penseur de la figure du Travailleur et celui de la figure de l’Anarque. Car, dans le lien souterrain entre ces deux hommes qui n’en font qu’un, on pourrait entrevoir la possibilité d’un autre destin européen… Des dernières pages apologétiques d’une vision de l’homme européen qui appartient à Venner, on retiendra particulièrement l’idéal de la “tenue”, pouvant encore inspirer qui prétend mener à terme la double carrière de l’Action et de la Pensée. »
« Venner entreprend de déterminer ce qu’ont en commun, à plusieurs décennies d’intervalle, le penseur de la figure du Travailleur et celui de la figure de l’Anarque. Car, dans le lien souterrain entre ces deux hommes qui n’en font qu’un, on pourrait entrevoir la possibilité d’un autre destin européen… Des dernières pages apologétiques d’une vision de l’homme européen qui appartient à Venner, on retiendra particulièrement l’idéal de la “tenue”, pouvant encore inspirer qui prétend mener à terme la double carrière de l’Action et de la Pensée. »